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11 octobre 2014 6 11 /10 /octobre /2014 13:14

Source : Ria Novosti 09/10/14

 

 

Le président du Turkménistan Gourbangouly Berdymoukhamedov est arrivé hier à Minsk pour une visite officielle de deux jours, écrit jeudi 9 octobre le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

Il évoquera, avec son homologue biélorusse Alexandre Loukachenko, les relations commerciales et économiques bilatérales, avant de participer à la réunion du Conseil des chefs d'Etat de la CEI.

Les deux présidents ont constaté la cohérence et la nature stratégique de leur coopération, qui connaît une dynamique positive dans le secteur commercial et économique et une absence de divergences politiques.

La Biélorussie est à la recherche de nouveaux marchés d'écoulement pour sa production industrielle car la demande a chuté sur son principal canal d'exportation - la Russie. Le pays enregistre donc une diminution de la production industrielle et une augmentation du volume des stocks. Ainsi, la production de machines et d'équipements a baissé de presque 20% en huit mois, et de plus de 20% pour les moyens de transport. Dans le même temps, ses stocks représentent déjà une réserve d'environ trois mois de produits fabriqués.

Depuis quatre ans, les échanges commerciaux entre la Biélorussie et le Turkménistan ont été multipliés par 3,5 pour atteindre 320 millions de dollars cette année, par rapport à 90 millions en 2010. Le Turkménistan est aujourd'hui le quatrième partenaire commercial de Minsk dans la CEI derrière la Russie, l'Ukraine et le Kazakhstan. La Biélorussie fournit à Achkhabad ses produits traditionnels: les tracteurs, les camions, le matériel agricole, les pneus et les produits alimentaires. Le Turkménistan livre en retour du coton, du tissu, de la laine et du textile. Près de 9 000 étudiants turkmènes suivent également leurs études en Biélorussie, soit presque la moitié de tous les étudiants étrangers présents dans le pays.

La visite de Gourbangouly Berdymoukhamedov a été précédée par la sixième réunion de la commission intergouvernementale pour la coopération économique entre la Biélorussie et le Turkménistan. Pendant la réunion, les parties ont dit espérer qu'en 2014 déjà les échanges atteindraient 450 millions de dollars, et se sont fixées des plans ambitieux: doubler le résultat l'an prochain.

Minsk et Achkhabad sont très fiers de la réalisation du projet de construction du complexe de potasse à Garlyk, qui a commencé à l'été 2009.

Alexandre Loukachenko espère également que la Biélorussie pourra vendre ses produits aux pays du Golfe via le Turkménistan. Il a rappelé que la voie ferrée reliant le Kazakhstan à cette région via le Turkménistan était pratiquement terminée. Manifestement cette question sera centrale lors des entretiens avec Gourbangouly Berdymoukhamedov.

Durant la visite du président turkmène, les parties pourraient également signer de nouveaux contrats pour des fournitures mutuelles. En particulier, les Biélorusses comptent vendre cette année aux alentours de 2 500 unités de matériel au Turkménistan.

Biélorussie : Loukachenko recherche un accès au golfe Persique
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10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 11:07

Source : Ria Novosti 09/10/14

 

 

Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a promulgué la loi de ratification du Traité instituant l'Union économique eurasiatique (UEEA), annonce l'agence biélorusse BELTA.

"Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a promulgué jeudi la loi de ratification du Traité instituant l'Union économique eurasiatique" qui regroupera la Biélorussie, la Russie et le Kazakhstan à partir du 1er janvier 2015, a rapporté l'agence.

Le parlement kazakh a adopté la loi de ratification du Traité jeudi après-midi.

La Russie a ratifié le traité le 3 octobre dernier. 

Le Traité instituant l'Union économique eurasiatique est un document de base fixant les ententes intervenues entre la Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan et portant sur le passage à une forme plus avancée d'intégration de ces trois pays, qui possèdent déjà un territoire douanier commun (Union douanière). Le Traité achève la création d'un grand marché commun de 170 millions d'habitants dans l'espace de la Communauté des Etats Indépendants (CEI).

 

Article précédent sur le même sujet

Poutine et l'espace post-soviétique

Poutine et l'espace post-soviétique

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10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 11:03

Source : RMC / BFM 10/10/14

 

 

Le match de qualifications pour l’Euro 2016 entre la Biélorussie et l’Ukraine a été marqué par les chants venus des tribunes à l’encontre de Vladimir Poutine, le président de la Russie.

 

Dans une région déstabilisée géopolitiquement après notamment le rattachement de la Crimée à la Russie, le match entre la Biélorussie et l’Ukraine jeudi soir en qualifications pour l’Euro 2016 a servi de tribune anti-Poutine. Des chants à l’encontre du président russe ont résonné dans le stade Borisov (« Poutine connard »), repris par des supporters des deux camps, qui ont également clamé « Gloire à l’Ukraine » au cours de la rencontre. Des Ukrainiens qui se sont imposés chez leurs voisins du nord (2-0), grâce à des buts de Martynovich contre son camp (82e) et Sydorchuk (93e).

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10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 10:59

Source : So Foot 09/10/14

 

Alors que l'UEFA a rendu impossible toute rencontre opposant un club ukrainien à un club russe, Michel et sa bande ont autorisé l'affiche Ukraine-Biélorussie. Étonnant à première vue, mais pas si fou finalement. Alors que beaucoup d'enjeux géopolitiques opposent les deux pays, les deux équipes de football sont plutôt dans la réunion.

 

 

Réfractaire à la Russie depuis une centaine d'années et une famine provoquée par un certain Staline, l'Ukraine peut difficilement avoir des atomes crochus avec la Biélorussie d'Alexandre Loukachenko, plutôt proche de la Russie. La réciproque semble également improbable. Comment un Biélorusse pourrait ne pas en vouloir à un pays qui, en 1986, lui a envoyé près de 70 % de ses retombées radioactives suite à l'explosion de la centrale nucléaire de Tchernobyl ? Trahissant ainsi le dicton qui veut que la Biélorussie est le « pays aux yeux bleus », remplacé par la très pathogène « contrée aux mille glaucomes ». Malgré cet inévitable antagonisme, l'équipe de football biélorusse ouvre officiellement le premier chapitre de son histoire foot en affrontant l'Ukraine en octobre 1992. Le match se terminera sur un match nul 1-1 annonciateur finalement d'un respect mutuel entre les deux anciens pays satellites.
 

Deux footballs meurtris


Complètement abandonné par son gouvernement et boudé par son dictateur, le football biélorusse ressemble à un immense champ de ruines. À l'image du football ukrainien, divisé et frustré par la guerre séparatiste. Aujourd'hui, si le ballon rond tient toujours le coup au pays des lacs, il le doit en partie à son héritage de l'URSS. Aussi bien du point de vue des infrastructures que de celui de la formation, où le Biélorusse reste un joueur de qualité. Mais le temps a passé et les stades ressemblent à d'anciennes ruines incas. Les salaires sont misérables et les clubs en faillite. John Nkomb Nkomb, formé au PSG, est parti cet été faire un essai d'une semaine au Dynamo de Minsk. « 

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Franchement, j'ai pas de regrets de ne pas avoir été conservé. C'est un peu la dèche là-bas niveau infrastructure. » La situation a radicalisé les branches de supporters biélorusses qui se montrent de plus en plus hostiles à Alexandre Loukachenko, le dictateur, qui préfère le hockey sur glace et n'hésite pas à dilapider quelques millions des caisses de l'État pour améliorer le niveau de son championnat national. Une situation parallèle à celle de l'Ukraine, où Viktor Ianoukovytch, l'autoritaire à la botte de la Russie, avait alors tenté de saboter le projet Euro 2012 dans son combat politique contre Ioulia Timochenko. « Aujourd'hui, le peuple biélorusse n'est pas dupe, il voit ce qu'il s'est passé en Ukraine et éprouve de la compassion », analyse Viktoriya Zakrevskaya, chercheuse à l'Institut biélorusse pour les études stratégiques (BISS) sis à Minsk. On aurait presque envie de dire que le peuple biélorusse envie la révolution ukrainienne, débarrassée en partie de la tutelle russe.

Un match au goût européen


Déjà bien représenté sur la scène continentale avec un club en C1, le BATE Borisov, et un club en C3, le Dynamo Minsk, le football biélorusse représente un danger de taille pour Alexandre Loukachenko. Car comme l'Ukraine, le peuple biélorusse souhaiterait se tourner vers l'Occident et l'Union européenne, afin de mettre fin à sa dictature tournée vers l'Est. C'est pourquoi Minsk assistera avec beaucoup de méfiance au match contre l'Ukraine. Car la rencontre pourrait bien être l'élément déclencheur d'une prise de conscience générale. « Tu as d'un côté les nationalistes qui soutiennent ce qui se passe en Ukraine, et d'un autre, la classe moyenne, enfin plutôt les urbains éduqués, qui sont attirés par l'Europe. Dans le lot, il y a les ultras biélorusses qui sont acquis à la cause ukrainienne eux aussi », analyse Ronan Evain, doctorant à l'Institut français de géopolitique, spécialiste de l'Est de l'Europe, post-effondrement de l'URSS. L'Ukraine et la Biélorussie étant deux pays dont l'accès mutuel est simple, les ultras ukrainiens et biélorusses se retrouvent fréquemment pour communier. « Ce sont des branches de supporters qui se connaissent bien, ont la même culture du supporterisme, les mêmes pratiques et le même idéal politique. Et puis, il n'y a pas besoin de visa », relève Ronan. D'où la présence de nombreux joueurs ukrainiens chez les rares étrangers qui jouent en Vysshaya Liga. Ce soir, le match devrait donc se passer sans heurts et pourrait même être le symbole de contestations pro-européennes dans les deux camps. « Je ne serais pas étonné de voir des banderoles pro-ukrainiennes côté biélorusse. » Alexandre Loukachenko se méfiera en tout cas d'une telle symbiose. « Oui, enfin, en Biélorussie, être un ultra, c'est être constamment pisté, fiché et contrôlé. Donc Minsk est prévenu ! », croit Ronan. Verdict à 20h45.

Le Dinamo Minsk, club phare de Biélorussie

Le Dinamo Minsk, club phare de Biélorussie

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10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 10:52

Source : La Voix de la Russie 10/10/14

 

 

Vladimir Poutine participera aux réunions du Conseil des chefs d'Etat de la CEI, du Conseil interétatique de la Communauté économique eurasienne (CEE) et du Conseil économique supérieur eurasien à Minsk.

Les chefs de la Russie, de la Biélorussie, du Kazakhstan, du Kirghizistan et du Tadjikistan signeront un document sur l'arrêt formel de l'activité de la Communauté économique eurasienne à laquelle succédera, à partir du 1er janvier 2015, l'Union économique eurasiatique (UEEA).

Il est attendu que l'Arménie et, à terme, le Kirghizistan se joindront à l'accord constituant de l'UEEA signé en mai par la Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan.

Les dirigeants des pays de la CEE évoqueront les mesures visant à protéger leur marché commun à la lumière de l'association entre l'UE et l'Ukraine.

Poutine se rend au sommet de la CEI à Minsk
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10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 08:46

Source : La Voix de la Russie 01/10/14

 

 

La Biélorussie estime inacceptable d'imposer aux pays des modèles politiques et économiques étrangers, tout comme des préférences culturelles.

Vladimir Makeï, ministre biélorusse des Affaires étrangères, a déclaré du haut de la tribune de l'ONU, que "les heureux de ce monde" continuaient "de penser que leur vision et le modèle de leur développement étaient universels", rapporte TASS.

"Ils ne demandent pas les autres si ceux-ci apprécient, par exemple, la démocratie dite libérale, a-t-il poursuivi. Les autres sont tout simplement placés devant un choix : ou bien accepter les recettes ou bien être prêts aux conséquences sous forme de menaces, de sanctions et de révolutions de couleur."

"A vrai dire, nous, la majorité, nous sommes déjà habitués à voir nous imposer des modèles politiques étrangers. D'aucuns veulent que nos peuples nourrissent le capital corporatif transnational. Si nous n'y arrivons pas, nous sommes punis. Le prétexte est toujours inventé : "violations des droits de l'Homme" dans les pays insoumis", a souligné Vladimir Makeï.

Selon lui, la Biélorussie, le Venezuela, l'Iran et Cuba, "qui sont l'objet d'attaques extérieures, ressentent tout particulièrement une telle pression depuis nombre d'années." Il a également relevé d'autres tendances tout aussi dangereuses.

"Ainsi, l'on nous oblige à renoncer aux valeurs de la famille traditionnelle et à reconnaître la pluralité des formes de cette institution. En d'autres termes, l'ont tente de nous voler notre âme", a affirmé Vladimir Makeï.

Il a appelé les pays qui contraignent les autres à adopter des modèles qui leur sont étrangers à abandonner cette "politique dénuée de sens et vaine". "Vos actions ne font que diviser le monde. Or, nous avons trop de problèmes globaux communs qui exigent l'unité", a-t-il fait observer pour conclure.

Vladimir Makeï, ministre biélorusse des Affaires étrangères

Vladimir Makeï, ministre biélorusse des Affaires étrangères

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 18:00

Source : Ria Novosti 06/10/14

 

 

La télévision biélorusse a diffusé samedi dernier l'intégralité de l'interview du président Alexandre Loukachenko accordée à la chaîne Euronews, écrit lundi le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

Les observateurs et les psychologues locaux constatent que le chef de l'Etat était flatté par sa prestation d'homme politique de niveau mondial, mais qu'il était très réticent à parler des actions et du rôle de la Russie dans le conflit ukrainien.

Euronews a accordé au président biélorusse 8 minutes d'antenne vendredi. Samedi, la télévision biélorusse diffusait la version longue de l'interview, soit une demi-heure. Les observateurs du pays estiment qu'Alexandre Loukachenko n'a fait aucune déclaration sensationnelle, hormis peut-être en se disant prêt à envoyer en Ukraine des casques bleus biélorusses.

Ses déclarations d'importance publique ont été diffusées sur Euronews: il a dit refuser de reconnaître les républiques autoproclamées de Donetsk et de Lougansk, et rejeter la position de la Russie qui a décidé de reprendre la Crimée "sous prétexte qu'un jour elle a été incorrectement rattachée à l'Ukraine". Par ailleurs, dans la version longue de l'interview, on peut voir à quel point le journaliste a eu du mal à lui faire répondre aux questions concernant la Russie. Loukachenko cherchait visiblement à respecter un certain équilibre. D'une part, il ne pouvait pas se prononcer contre un allié – les négociations sur les tarifs pétroliers pour la Biélorussie sont en jeu - et de l'autre, il n'est pas solidaire avec toutes les actions de son voisin.

Les esquives permanentes de Loukachenko ont exaspéré le correspondant Sergio Cantone, qui a même formulé un reproche au président biélorusse: "Je vois que vous avez des choses à dire, mais vous ne voulez pas… Je suis donc obligé de poser beaucoup de questions". "La discussion est difficile", a résumé Loukachenko.

Selon les experts biélorusses, le président cherchait à profiter au mieux de la situation - sachant que manœuvrer entre l'est et l'ouest pour tenter d'en tirer profit est une stratégie habituelle du chef de l'Etat. Dans le cas présent, "son apparition sur une chaîne européenne est le signe d'une nouvelle situation géopolitique et la reconnaissance d'un nouveau statut pour Loukachenko en Europe", estiment les analystes de Minsk.

"La crise ukrainienne a exercé un immense impact sur la sécurité internationale, notamment en Europe centrale et de l'est. Tous les Etats de la région doivent s'adapter à la nouvelle situation. La crise ukrainienne a également eu beaucoup d'influence sur la Biélorussie et sa politique nationale", estime le politologue biélorusse Valeri Karbalevitch. "La sécurité est passée au premier plan pour la population, la demande d'un pouvoir fort a augmenté. C'est pourquoi la cote de Loukachenko monte et que la confiance accordée à l'opposition, qui est assimilée au Maïdan, à la révolution et au chaos baisse", pense l'expert.

Le politologue Vitali Tsygankov affirme que la présence de Loukachenko sur une chaîne européenne et la détente dans les relations avec l'UE et les USA résultent directement des événements en Ukraine. "Loukachenko n'est plus un mal absolu ni pour l'Occident, ni pour la majeure partie de la population, ni même pour l'opposition biélorusse", conclut l'expert.

Le président biélorusse n'est plus un "mal absolu" pour l'Occident
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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 20:01

Source : Premiere 05/10/14

 

 

Selon The Hollywood Reporter, Emir Kusturica devrait tourner en 2015 entre la Biélorussie et l'Italie son prochain long métrage. Une adaptation d'un roman de Primo Levi mettant en scène des résistants juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.

 

Après avoir dirigé en Bosnie en 2013 Monica Bellucci pour L'Amour et la paix, Emir Kusturica s'apprêterait à reprendre du service dans quelques mois. Le réalisateur qui a reçu la Palme d'Or à Cannes en 1985 pour Papa est en voyage d'affaires et en 1995 pour Underground, devrait en effet débuter le tournage en 2015 de sa nouvelle réalisation. Un film qui, selon The Hollywood Reporter, qui cite Mikhail Katyushenko, le directeur marketing de la société de production Belarusfilm, devrait être tourné en Biélorussie pendant 60 jours et en Italie pendant 20 jours.

Le scénario de ce long-métrage, coproduit par Cinéma Soleil et Belarusfilm, a été écrit, selon le site américain, par le réalisateur en collaboration avec le scénariste Gordan Mihic. Ce dernier a déjà mis son talent au service d'Emir Kusturica pour Chat noir, chat blanc ou encoreLe Temps des gitans. Une écriture à quatre mains pour adapter sur grand écran le livre Se non ora, quando? de Primo Levi publié en 1982. Un roman qui plonge au coeur de la Seconde Guerre mondiale en suivant le quotidien de résistants juifs qui tentent combattre les Nazis.

Emir Kusturica devrait tourner en 2015 entre la Biélorussie et l'Italie

Emir Kusturica devrait tourner en 2015 entre la Biélorussie et l'Italie

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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 19:56

Source : Ria Novosti 03/10/14

 

 

Le président russe Vladimir Poutine a promulgué vendredi la loi de ratification du Traité instituant l'Union économique eurasiatique (UEA) qui regroupera la Biélorussie, la Russie et le Kazakhstan à partir du 1er janvier 2015.

"J'ai signé vendredi la loi fédérale de ratification du Traité sur l'Union économique eurasiatique. Cela marque la fin d'une étape importante dans nos efforts d'intégration avec nos partenaires et alliés les plus proches", a déclaré M.Poutine lors d'une rencontre avec des membres du gouvernement russe.

La Biélorussie et le Kazakhstan devraient ratifier le Traité avant la rencontre des dirigeants des trois pays prévue à Minsk pour octobre.

L'entrée en vigueur du Traité marquera la fin de la procédure de création d'un grand marché commun de 170 millions d'habitants dans l'espace de la Communauté des Etats Indépendants (CEI).

Le président Poutine a annoncé jeudi, lors du forum d'investissement l'Appel de la Russie, que de nouveaux membres pourraient prochainement adhérer à l'UEA. Selon lui, l'Arménie achève sa procédure d'adhésion et les discussions avec le Kirghizstan sont en cours.

Signé en mai dernier, le Traité instituant l'Union économique eurasiatique est un document de base fixant les ententes intervenues entre la Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan et portant sur le passage à une forme plus avancée d'intégration de ces trois pays, qui possèdent déjà un territoire douanier commun (Union douanière). 

Union économique eurasiatique: la Russie ratifie le Traité
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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 19:53

Source : Ria Novosti 03/10/14

 

Le gouvernement russe a adopté un arrêté octroyant un crédit de 10 milliards de dollars à la Biélorussie pour la construction de sa première centrale nucléaire BelAES, a annoncé vendredi le site russe d'informations juridiques officielles.

"La Russie accorde un crédit de 10 milliards de dollars à la Biélorussie destiné à financer la réalisation des contrats signés entre le maître d'œuvre des travaux russe et le client biélorusse et portant sur la construction de deux réacteurs nucléaires sur le territoire de la Biélorussie", lit-on dans le texte.

La Russie et la Biélorussie ont signé un accord sur la construction d'une centrale nucléaire à Ostrovets, dans la région biélorusse de Grodno, le 15 mars 2011. Le coût total du projet s'élève à 9,7 milliards de dollars. La centrale comprendra deux réacteurs à eau sous pression du type AES 2006, d'une puissance de 1.200 MW chacun, dont le premier devrait être mis en exploitation en 2016. Les travaux sont effectués par le groupe russe Atomstroïexport et financés au moyen d'un crédit russe de 10 milliards de dollars.

La société russe Atomenergomash, qui se spécialise dans la conception d'équipements pour les centrales nucléaires, a déjà livré plusieurs équipements destinés à la future centrale. Minsk a lancé le chantier des édifices qui abriteront les réacteurs N°1 et N°2 respectivement en novembre 2013 et mai 2014.

Centrale nucléaire biélorusse

Centrale nucléaire biélorusse

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