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29 février 2016 1 29 /02 /février /2016 11:59

Source : Sputnik (agence russe) 23/02/16

 

 

Le président biélorusse Alexandre Loukachenko considère comme impossible, dans son pays, un scénario prévoyant un changement de pouvoir depuis l'extérieur.


 

Selon M.Loukachenko, les conflits de ces dernières années tendent à se dénouer dans des changements de pouvoir et dans la destruction des Etats concernés. Le problème est que, dans ces cas, des menaces externes se concrétisent par le biais de sources internes dans les pays en question, les véritables responsables de ces conflits jouant sur les sentiments des forces de l'opposition, estime le chef d'Etat biélorusse.

 

Par ailleurs, le président biélorusse est persuadé que les forces externes ne pourront pas faire changer le pouvoir en Biélorussie en jouant la carte des factions protestataires.

"Tous les conflits de ces derniers temps ont une particularité. Il s'agit de la réalisation des menaces externes par le biais de sources internes. D'ordinaire, cela se termine par un changement de pouvoir et par la destruction de l'Etat. Pour nous, ce scénario est inacceptable. Même si on a assisté à des tentatives de l'imposer à la Biélorussie", a déclaré Alexandre Loukachenko, cité par l'agence officielle Belta, lors d'une intervention devant les officiers de l'armée nationale.

"Le recours systématique à la force dans les sphères non militaires (surtout dans les secteurs financier, économique et informationnel) a radicalement changé les formes de la guerre contemporaine", a souligné le dirigeant biélorusse.

 

Selon lui, aujourd'hui, les parties en conflit utilisent tous les moyens en même temps, tant militaires que non militaires.

 

"Les éléments de ce type de guerre, testés précédemment en Yougoslavie, en Irak et en Lybie, sont pleinement appliqués aujourd'hui. On peut observer cela, par exemple, en Syrie, en Ukraine et dans d'autres Etats", a-t-il noté.

La Biélorussie est prête à protéger ses intérêts nationaux à tout prix, étant donnée ses défis actuels et les menaces à sa sécurité nationale, et ce, même si la doctrine militaire nationale du pays a toujours un caractère défensif, martèle Alexandre Loukachenko.



 

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6 janvier 2016 3 06 /01 /janvier /2016 20:40

Source :CitizenKane.fr 24/12/15

 

 

Meir Dagan, ancien directeur du Mossad, a bénéficié d’une greffe du foie réalisée en Biélorussie, alliée et fournisseur de l’Iran en technologie de guidage des missile sol-sol de conception Russe.

 

 

Meir Dagan, le plus virulent des opposants au projet de frappe militaire israélienne contre l’Iran dans la communauté du renseignement, a choisi de recevoir une transplantation hépatique sous l’hospitalité bienveillante du Président du Bélarus, Alexandre Loukachenko, qui a révélé à la presse israélienne que « les Etats-Unis, l’Allemagne et la Suède auraient refusé d’opérer le patient après qu’ils ont appris la profession naguère exercée par le patron du Mossad ».

En réalité, il n’en est rien : le choix du Belarus procède de la pénurie d’organes compatibles et de la détérioration de l’état de santé du malade, dans le contexte d’une législation bio-éthique inflexible retardant la transplantation salutaire.

Des règles éthiques et religieuses, en effet, soumettent la transplantation d’organes à un interminable labyrinthe de marathons administratifs en Israël, si bien que l’ex-patron du mossad, lui-même, n’a eu d’autre choix que de préférer le centre de transplantation hépatique Bélorus pour sauver sa vie : Âgé de 67 ans, le patient le mieux renseigné d’Israël n’est plus éligible à la transplantation hépatique sur le sol hébreu où la loi fixe la limite d’âge à 65 ans.

La question juridique de l’état de mort clinique autorisant le prélèvement d’organe sain, fait débat en Europe, aux USA et en Israël selon que le législateur s’attache à considérer la mort cérébrale (comme c’est le cas en Suisse, par exemple) ou l’arrêt complet des fonctions vitales (comme c’est le cas en Israël) ; question qui n’est pas sans incidence sur la viabilité des organes transplantés ni sur le taux de survie des patients.

Tel n’est pas le cas en Biélorussie où un tourisme médical décomplexé bat son plein, car les critères du consentement du donneur y sont infiniment plus flexibles et les contraintes liées à la bio-éthique inexistantes.

L’Etat Islamique, quant à lui, a franchi toutes barrières morales de la bio-éthique en promulguant les « Fatwas 61-62 et 64-68 » qui autorisent ses ouailles à prélever les organes des captifs in vivo, à leurs corps défendant, dussent-ils en périr, pour alimenter le trafic humain d’organes du Califat. Ce cas d’application innovant de la Sharia au califat, se situe dans le droit fil de la jurisprudence sunnite antérieure (Ecoles Shafi’i et Hanbali du 9ème siècle) autorisant la consommation de la chair de l’infidèle en cas de nécessité. (cf : source ISIL Committee Research and Fatwas, 31 janvier 2015, reproduit in fine, Fatwa 68 2-b « Organes dont le prélèvement entraîne la mort du captif : le prélèvement de ce type d’organe n’est pas non plus prohibé serait-il fatal au captif : Une école de l’islam a permis, si nécessaire de tuer les apostats pour se nourrir de leur chair » ).

Ainsi, en Europe, des compagnies d’assurance-vie félicitent-elles les souscripteurs qui s’enregistrent comme donneurs ignorant probablement que leurs organes seront cédés, 200.000 euros pour un foie, 60.000 euros pour un rein à l’appui des mentions du consentement stipulées : le contrat d’assurance-vie scellant, à cet égard, un invisible contrat de mutation gracieuse des organes du vertueux défunt à la bonne fortune d’un patient mieux informé, à l’instar de l’ex-patron du Mossad, (qui n’aurait assurément pas connu le même sort en Syrie).

Véritable course contre la montre et l’éthique, le profitable business de la transplantation hépatique et rénale sauve de nombreuses vies d’une mort probable, enrichit plus certainement encore les compagnies d’assurance-vie et l’Etat Islamique, à coup sûr.

Meir Dagan

Meir Dagan

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6 novembre 2015 5 06 /11 /novembre /2015 14:01

Source : Xinhua 31/10/15

 

Le président Alexandre Loukachenko a indiqué vendredi que la Biélorussie n'avait pas besoin d'une base aérienne russe déployée sur son territoire. 

Ni Minsk ni Moscou n'a besoin de déployer une base aérienne russe sur le territoire biélorusse du point de vue militaire, a expliqué M. Loukachenko lors d'une conférence opérationnelle du commandement des Forces armées qui s'est tenue vendredi à Minsk, la capitale de la Biélorussie. 

Le président biélorusse a également précisé que des équipages de MiG-29 biélorusses et de Su-27 russes étaient présents au quotidien sur la base aérienne de Baranovichi. "Ils gèrent la mission consistant à protéger l'espace aérien, en particulier, pour la défense de la Fédération de Russie". 

M. Loukachenko a souligné que le groupe commun de forces régionales serait utilisé si "une agression militaire est déclarée contre la Biélorussie et donc, contre la Russie". 

Certains médias ont rapporté qu'en septembre, le président russe Vladimir Poutine avait donné pour instruction aux ministres des Affaires étrangères et de la défense de s'entretenir avec leurs homologues biélorusses au sujet de la création d'une base aérienne et avait ordonné de signer l'accord correspondant. 

Le dirigeant biélorusse a reproché aux médias de faire beaucoup de bruit autour du déploiement présumé d'une base aérienne russe dans son pays, expliquant que ces accusations étaient à caractère politique et ne reflétaient pas la situation réelle. 

M. Loukachenko a insisté sur le fait qu'il ne voulait pas que son pays soit impliqué dans un "jeu où (Est et Ouest) montrent leurs muscles". 

"L'objectif principal est de donner une stabilité sociopolitique au pays et d'éviter le chaos et la déstabilisation", a-t-il ajouté. 

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 19:50

Source : Sputniknews.com 20/09/15

 

Sur fond d'activité accrue de l'Otan près des frontières russes, Moscou prépare une réponse adéquate, souhaitant créer une base aérienne en Biélorussie.

 

Le président russe Vladimir Poutine a ordonné aux ministères russes de la Défense et des Affaires étrangères de signer un accord sur la création d'une base aérienne en Biélorussie. Le document correspondant a été publié sur le portail officiel d'informations juridiques.

 

"Accepter l'ordre du gouvernement russe visant à signer un accord entre la Russie et la Biélorussie sur la création d'une base aérienne russe en Biélorussie", prescrit le document.

En octobre dernier le général-colonel Viktor Bondarev, commandant en chef de l'Armée de l'air russe, a déjà déclaré que la Biélorussie accueillerait en 2016 une base aérienne russe qui abriterait des chasseurs Su-27. Selon lui, la base serait déployée sur le territoire de l'aérodrome militaire de la ville de Bobrouïsk (centre).

Le déploiement d'un régiment aérien russe sur un aérodrome biélorusse est une réaction logique de Moscou à l'expansion de l'Otan vers l'est. Auparavant, la Russie avait déclaré à plusieurs reprises que l'Alliance intensifiait son activité près des frontières russes.

Selon le ministère de la Défense, l'Otan y a augmenté de neuf fois le nombre de ses vols de reconnaissance en 2015. Le nombre d'exercices militaires près de la frontière russe a également accru de 95 à 150 au cours des dernières années, précise le ministère.

En outre, début septembre, l'Alliance a ouvert des sièges dans six pays d'Europe orientale, en lien avec le déploiement des forces de réaction rapide, à savoir en Estonie, en Lettonie, en Lituanie, en Pologne, en Bulgarie et en Roumanie. Si les forces comptaient auparavant près de 13.000 effectifs, leur nombre actuel se chiffre à 30.000.

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 09:35

Source : Romandie News 03/12/14

 

 

Le parquet lituanien a annoncé mercredi avoir demandé à la justice d'ouvrir des poursuites judiciaires contre un citoyen lituanien, soupçonné d'espionnage au profit du Bélarus, sur fond de tensions entre le bloc occidental et Moscou.

Le suspect accusé d'espionnage travaillait pour les services secrets bélarusses, a dit à la presse le procureur Raimondas Petrauskas.

La révélation de cette affaire, la deuxième en moins d'un mois, survient dans le contexte de tensions entre l'Otan et l'UE, dont la Lituanie est membre, et Moscou, en raison du soutien prêté par le Kremlin aux séparatistes ukrainiens.

Le Bélarus, voisin de la Lituanie, est dirigé par son président autoritaire Alexandre Loukachenko, qui a critiqué l'annexion de la Crimée par la Russie, mais a accepté d'accueillir sur son sol une base aérienne russe en 2015.

Selon un communiqué du parquet lituanien, qui n'identifie pas ses commanditaires, le suspect en question faisait partie du personnel paramédical de l'armée lituanienne.

M. Petrauskas a estimé que ses activités d'espion ont causé d'immenses dommages et précisé qu'il avait fourni pendant cinq ans à ses commanditaires des informations sur les forces armées, leur personnel, leurs plans et leurs bâtiments.

Né en 1986, il avait rejoint l'armée en 2007 et vivait dans la deuxième ville du pays, Kaunas. Il aurait été payé directement par un agent bélarusse.

Le 10 novembre dernier, un autre Lituanien, ancien employé d'une société de services aériens, avait été également mis en examen pour espionnage au profit du Belarus. Il risque jusqu'à 15 ans de prison pour avoir transmis à Minsk des informations sur les infrastructures lituaniennes sensibles, y compris militaires.

La Lituanie, pays balte de trois millions d'habitants, est dans l'Otan depuis 2004. Sous occupation soviétique jusqu'en 1991, les trois pays baltes craignent pour leur sécurité depuis l'annexion en mars de la Crimée par la Russie et l'engagement de Moscou en faveur des rebelles dans l'est de l'Ukraine. Ils ont obtenu un renforcement de la présence de l'Otan dans la région.

Deuxième espion bélarusse présumé arrêté en Lituanie en moins d'un mois
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1 novembre 2014 6 01 /11 /novembre /2014 20:20

Source : Ria Novosti 29/10/14

 

La Russie déploiera en 2015 des chasseurs Su-27 et des hélicoptères Mi-8 sur l'aérodrome biélorusse de Bobrouïsk, a annoncé mercredi à Minsk le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.

"Douze avions de combat Su-27, deux avions-écoles Su-27 et quatre hélicoptères Mi-8 seront mis en service opérationnel sur l'aérodrome de Bobrouïsk en 2015. Il s'agit de l'aviation d'appui", a indiqué M.Choïgou au terme d'une réunion du collège conjoint des ministères de la Défense de Russie et de Biélorussie.

Selon le ministre, les deux ministères se sont entendus sur la préparation des exercices conjoints de l'Union Russie-Biélorussie baptisés Bouclier de l'Union 2015.

 

Article précédent sur le même sujet

 

 

Biélorussie : des chasseurs russes Su-27 déployés à Bobrouïsk en 2015
Bobrouïsk en Biélorussie

Bobrouïsk en Biélorussie

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1 novembre 2014 6 01 /11 /novembre /2014 20:09

Source : Ria Novosti 29/10/14

 

La Russie et la Biélorussie élargissent le programme d'exercices militaires conjoints pour 2015 en raison de "nouvelles menaces" pour l'Union des deux pays, a déclaré mercredi à Minsk le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.

"Nous avons élargi notre programme d'exercices pour 2015. Cette décision s'explique par l'évolution de la situation près de nos frontières et dans le monde. Les armées russe et biélorusse voudraient notamment se préparer à parer de nouvelles menaces pesant sur l'Union Russie-Biélorussie", a indiqué le ministre au terme d'une réunion du collège conjoint des ministères de la Défense des deux pays.

Selon les informations précédentes, la Russie remettra gratuitement quatre systèmes de défense sol-air S-300 à la Biélorussie d'ici la fin de l'année.

 

Voir Article précédent sur le même sujet

Moscou et Minsk élargissent leur programme d'exercices militaires

Moscou et Minsk élargissent leur programme d'exercices militaires

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1 novembre 2014 6 01 /11 /novembre /2014 19:58

Source : Ria Novosti 29/10/14

 

 

La Russie remettra gratuitement à la Biélorussie quatre systèmes de défense sol-air S-300 d'ici la fin de l'année, a annoncé mercredi à Minsk le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.

"Nous comptons achever la procédure de remise de quatre systèmes de missiles S-300 à la Biélorussie. L'armée biélorusse devrait mettre ces missiles en service opérationnel en 2015", a indiqué le ministre à l'issue d'une réunion du collège conjoint des ministères de la Défense de Russie et de Biélorussie.

La réunion de mercredi a permis de dresser le bilan de la coopération militaire russo-biélorusse en 2014 et d'élaborer un plan de coopération pour 2015. "Nous avons pris des décisions importantes contribuant au renforcement de la sécurité de l'Union Russie-Biélorussie", a conclu le ministre.

S-300 pour Minsk : Moscou remettra quatre systèmes en 2014

S-300 pour Minsk : Moscou remettra quatre systèmes en 2014

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30 octobre 2014 4 30 /10 /octobre /2014 20:13

Source : Zaman 28/10/14

 

 

La Pologne va renforcer sa présence militaire à sa frontière orientale dans le cadre d'un vaste projet étalé sur plusieurs années et décidé en raison de la crise en Ukraine, a annoncé mardi le ministre polonais de la Défense.

 

La Pologne va renforcer sa présence militaire à sa frontière orientale dans le cadre d'un vaste projet étalé sur plusieurs années et décidé en raison de la crise en Ukraine, a annoncé mardi le ministre polonais de la Défense.

"Nous voulons renforcer nos unités dans l'est de la Pologne", a déclaré Tomasz Siemoniak à l'antenne de la radio publique.

"C'est un projet qui va être étalé sur un certain nombre d'années. Il produira ses premiers effets en 2017. Il y aura toute une série d'initiatives concernant nos unités dans l'Est. Il y aura aussi des investissements dans les infrastructures", a-t-il ajouté, en refusant de préciser l'ampleur des redéploiements prévus.

La Pologne partage à l'est de son territoire des frontières avec l'enclave russe de Kaliningrad, avec la Biélorussie, alliée de Moscou, et avec l'Ukraine.

"Il est évident que (ce projet) a un lien avec ce qui se passe en Ukraine", a déclaré Tomasz Siemoniak. "Cela fait partie de l'analyse des conclusions à tirer de cette crise."

A l'instar des Etats-Unis et des autres pays de l'Union européenne, la Pologne accuse la Russie de soutenir les séparatistes pro-russes dans l'est de l'Ukraine après avoir annexé la Crimée en mars.

Inquiète à l'idée de devenir à son tour la cible d'éventuelles ambitions territoriales de la Russie, elle a demandé à ses alliés au sein de l'Otan d'établir une présence militaire permanente sur son territoire. Les autres membres de l'Alliance atlantique ont refusé, pour des raisons de coût et afin de ne pas braquer la Russie.

L'Otan envisage néanmoins d'installer le siège de sa nouvelle force de réaction rapide à Szczecin, dans l'ouest de la Pologne.

La Pologne va redéployer son armée vers sa frontière orientale
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15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 13:19

Source : La Voix de la Russie 15/10/14

 

 

 

La Biélorussie accueillera en 2016 une base aérienne russe avec des chasseurs Soukhoï Su-27, a déclaré mercredi à Kazan le général-colonel Viktor Bondarev, commandant en chef de l'Armée de l'air russe.

"Une base des forces aériennes russes sera mise en place en Biélorussie en 2016. Elle abritera des chasseurs Su-27", a annoncé M.Bondarev aux journalistes.

Selon lui, la base sera déployée sur le territoire de l'aérodrome militaire de la ville de Bobrouïsk (centre).
 

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