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27 avril 2016 3 27 /04 /avril /2016 20:36

Source : RFI 26/04/16

 

Ecouter le reportage sur RFI

 

Il y a 30 ans, le 26 avril 1986, le réacteur numéro 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl en Ukraine, explosait, provoquant la plus grande catastrophe connue en matière de nucléaire civil.
La Bielorussie, dont la frontière méridionale est située à 11 kilomètres de la centrale, a été le pays le plus touché par les conséquences de la catastrophe. 140 000 personnes ont dû être déplacées sur une population totale de 10 millions d’habitants.
30 ans plus tard, les autorités biélorusses veulent tourner la page de Tchernobyl. Pour de nombreux jeunes, nés après la catastrophe, cet évènement fait partie de l’histoire ; il est virtuel au point qu’il a inspiré des jeux vidéo. Et le gouvernement de Minsk a décidé de construire dans le nord du pays, la première centrale nucléaire biélorusse. Pourtant, pour de nombreux Biélorusses, le drame est encore tres présent.

 

 

 

1 .Claudia et Adam, déplacés parce qu'ils habitaient un village, Astrablady, situé à 20 km de la centrale, dans ce qui est désormais la zone d'exclusion. Ils montrent leurs médailles et leurs cartes de "liquidateurs", statut qui n'existe plus en Biélorussie. 2 Une photo de Claudia devant l'école où elle travaillait, désormais envahie par les arbres. Claudia et Adam retournent de temps en temps voir leur ancien village, Astrablady. 3 Le cimetière de Beratchetska. C'est tout ce qui reste du village...  4. Alexandre sur les lieux où était située la maison de ses parents, Vasili et Elena. Leur village, Beratchetska, situé à une quarantaine de kilomètres de la centrale, a été entièrement rasé, les maisons enterrées, et le site transformé en terres agricoles. 6 Panneau indiquant l'entrée dans la zone d'exclusion. 7 Dans le centre de Braguine, la statue en l'honneur de Vassily Iniatenko, enfant du pays, qui fut le premier pompier sur le site de la centrale. 8 Maisons abandonnées dans le village d'Astrablady, dans la zone d'exclusion. Les sacs au pied des arbres servent à recueillir le jus de bouleau, qui est consommé par les habitants de la région, qui reviennent malgré l'interdiction et le danger. 9 Elena, sa fille et sa petite-fille, dans le village de Savali, d'abord placé en zone d'exclusion, et maintenant autorisé. De nombreux bâtiments ont été enterrés à cause du niveau de radiation. 10. A Braguine, à côté de la station d'essence, la barrière interdisant l'entrée dans la zone d'exclusion, et le panneau indiquant le niveau de radioactivité. Ce jour-là : 0.49 millisievert. En France, on considère qu'il y a danger à 0.10 millisievert. 1 .Claudia et Adam, déplacés parce qu'ils habitaient un village, Astrablady, situé à 20 km de la centrale, dans ce qui est désormais la zone d'exclusion. Ils montrent leurs médailles et leurs cartes de "liquidateurs", statut qui n'existe plus en Biélorussie. 2 Une photo de Claudia devant l'école où elle travaillait, désormais envahie par les arbres. Claudia et Adam retournent de temps en temps voir leur ancien village, Astrablady. 3 Le cimetière de Beratchetska. C'est tout ce qui reste du village...  4. Alexandre sur les lieux où était située la maison de ses parents, Vasili et Elena. Leur village, Beratchetska, situé à une quarantaine de kilomètres de la centrale, a été entièrement rasé, les maisons enterrées, et le site transformé en terres agricoles. 6 Panneau indiquant l'entrée dans la zone d'exclusion. 7 Dans le centre de Braguine, la statue en l'honneur de Vassily Iniatenko, enfant du pays, qui fut le premier pompier sur le site de la centrale. 8 Maisons abandonnées dans le village d'Astrablady, dans la zone d'exclusion. Les sacs au pied des arbres servent à recueillir le jus de bouleau, qui est consommé par les habitants de la région, qui reviennent malgré l'interdiction et le danger. 9 Elena, sa fille et sa petite-fille, dans le village de Savali, d'abord placé en zone d'exclusion, et maintenant autorisé. De nombreux bâtiments ont été enterrés à cause du niveau de radiation. 10. A Braguine, à côté de la station d'essence, la barrière interdisant l'entrée dans la zone d'exclusion, et le panneau indiquant le niveau de radioactivité. Ce jour-là : 0.49 millisievert. En France, on considère qu'il y a danger à 0.10 millisievert.
1 .Claudia et Adam, déplacés parce qu'ils habitaient un village, Astrablady, situé à 20 km de la centrale, dans ce qui est désormais la zone d'exclusion. Ils montrent leurs médailles et leurs cartes de "liquidateurs", statut qui n'existe plus en Biélorussie. 2 Une photo de Claudia devant l'école où elle travaillait, désormais envahie par les arbres. Claudia et Adam retournent de temps en temps voir leur ancien village, Astrablady. 3 Le cimetière de Beratchetska. C'est tout ce qui reste du village...  4. Alexandre sur les lieux où était située la maison de ses parents, Vasili et Elena. Leur village, Beratchetska, situé à une quarantaine de kilomètres de la centrale, a été entièrement rasé, les maisons enterrées, et le site transformé en terres agricoles. 6 Panneau indiquant l'entrée dans la zone d'exclusion. 7 Dans le centre de Braguine, la statue en l'honneur de Vassily Iniatenko, enfant du pays, qui fut le premier pompier sur le site de la centrale. 8 Maisons abandonnées dans le village d'Astrablady, dans la zone d'exclusion. Les sacs au pied des arbres servent à recueillir le jus de bouleau, qui est consommé par les habitants de la région, qui reviennent malgré l'interdiction et le danger. 9 Elena, sa fille et sa petite-fille, dans le village de Savali, d'abord placé en zone d'exclusion, et maintenant autorisé. De nombreux bâtiments ont été enterrés à cause du niveau de radiation. 10. A Braguine, à côté de la station d'essence, la barrière interdisant l'entrée dans la zone d'exclusion, et le panneau indiquant le niveau de radioactivité. Ce jour-là : 0.49 millisievert. En France, on considère qu'il y a danger à 0.10 millisievert. 1 .Claudia et Adam, déplacés parce qu'ils habitaient un village, Astrablady, situé à 20 km de la centrale, dans ce qui est désormais la zone d'exclusion. Ils montrent leurs médailles et leurs cartes de "liquidateurs", statut qui n'existe plus en Biélorussie. 2 Une photo de Claudia devant l'école où elle travaillait, désormais envahie par les arbres. Claudia et Adam retournent de temps en temps voir leur ancien village, Astrablady. 3 Le cimetière de Beratchetska. C'est tout ce qui reste du village...  4. Alexandre sur les lieux où était située la maison de ses parents, Vasili et Elena. Leur village, Beratchetska, situé à une quarantaine de kilomètres de la centrale, a été entièrement rasé, les maisons enterrées, et le site transformé en terres agricoles. 6 Panneau indiquant l'entrée dans la zone d'exclusion. 7 Dans le centre de Braguine, la statue en l'honneur de Vassily Iniatenko, enfant du pays, qui fut le premier pompier sur le site de la centrale. 8 Maisons abandonnées dans le village d'Astrablady, dans la zone d'exclusion. Les sacs au pied des arbres servent à recueillir le jus de bouleau, qui est consommé par les habitants de la région, qui reviennent malgré l'interdiction et le danger. 9 Elena, sa fille et sa petite-fille, dans le village de Savali, d'abord placé en zone d'exclusion, et maintenant autorisé. De nombreux bâtiments ont été enterrés à cause du niveau de radiation. 10. A Braguine, à côté de la station d'essence, la barrière interdisant l'entrée dans la zone d'exclusion, et le panneau indiquant le niveau de radioactivité. Ce jour-là : 0.49 millisievert. En France, on considère qu'il y a danger à 0.10 millisievert. 1 .Claudia et Adam, déplacés parce qu'ils habitaient un village, Astrablady, situé à 20 km de la centrale, dans ce qui est désormais la zone d'exclusion. Ils montrent leurs médailles et leurs cartes de "liquidateurs", statut qui n'existe plus en Biélorussie. 2 Une photo de Claudia devant l'école où elle travaillait, désormais envahie par les arbres. Claudia et Adam retournent de temps en temps voir leur ancien village, Astrablady. 3 Le cimetière de Beratchetska. C'est tout ce qui reste du village...  4. Alexandre sur les lieux où était située la maison de ses parents, Vasili et Elena. Leur village, Beratchetska, situé à une quarantaine de kilomètres de la centrale, a été entièrement rasé, les maisons enterrées, et le site transformé en terres agricoles. 6 Panneau indiquant l'entrée dans la zone d'exclusion. 7 Dans le centre de Braguine, la statue en l'honneur de Vassily Iniatenko, enfant du pays, qui fut le premier pompier sur le site de la centrale. 8 Maisons abandonnées dans le village d'Astrablady, dans la zone d'exclusion. Les sacs au pied des arbres servent à recueillir le jus de bouleau, qui est consommé par les habitants de la région, qui reviennent malgré l'interdiction et le danger. 9 Elena, sa fille et sa petite-fille, dans le village de Savali, d'abord placé en zone d'exclusion, et maintenant autorisé. De nombreux bâtiments ont été enterrés à cause du niveau de radiation. 10. A Braguine, à côté de la station d'essence, la barrière interdisant l'entrée dans la zone d'exclusion, et le panneau indiquant le niveau de radioactivité. Ce jour-là : 0.49 millisievert. En France, on considère qu'il y a danger à 0.10 millisievert.
1 .Claudia et Adam, déplacés parce qu'ils habitaient un village, Astrablady, situé à 20 km de la centrale, dans ce qui est désormais la zone d'exclusion. Ils montrent leurs médailles et leurs cartes de "liquidateurs", statut qui n'existe plus en Biélorussie. 2 Une photo de Claudia devant l'école où elle travaillait, désormais envahie par les arbres. Claudia et Adam retournent de temps en temps voir leur ancien village, Astrablady. 3 Le cimetière de Beratchetska. C'est tout ce qui reste du village...  4. Alexandre sur les lieux où était située la maison de ses parents, Vasili et Elena. Leur village, Beratchetska, situé à une quarantaine de kilomètres de la centrale, a été entièrement rasé, les maisons enterrées, et le site transformé en terres agricoles. 6 Panneau indiquant l'entrée dans la zone d'exclusion. 7 Dans le centre de Braguine, la statue en l'honneur de Vassily Iniatenko, enfant du pays, qui fut le premier pompier sur le site de la centrale. 8 Maisons abandonnées dans le village d'Astrablady, dans la zone d'exclusion. Les sacs au pied des arbres servent à recueillir le jus de bouleau, qui est consommé par les habitants de la région, qui reviennent malgré l'interdiction et le danger. 9 Elena, sa fille et sa petite-fille, dans le village de Savali, d'abord placé en zone d'exclusion, et maintenant autorisé. De nombreux bâtiments ont été enterrés à cause du niveau de radiation. 10. A Braguine, à côté de la station d'essence, la barrière interdisant l'entrée dans la zone d'exclusion, et le panneau indiquant le niveau de radioactivité. Ce jour-là : 0.49 millisievert. En France, on considère qu'il y a danger à 0.10 millisievert. 1 .Claudia et Adam, déplacés parce qu'ils habitaient un village, Astrablady, situé à 20 km de la centrale, dans ce qui est désormais la zone d'exclusion. Ils montrent leurs médailles et leurs cartes de "liquidateurs", statut qui n'existe plus en Biélorussie. 2 Une photo de Claudia devant l'école où elle travaillait, désormais envahie par les arbres. Claudia et Adam retournent de temps en temps voir leur ancien village, Astrablady. 3 Le cimetière de Beratchetska. C'est tout ce qui reste du village...  4. Alexandre sur les lieux où était située la maison de ses parents, Vasili et Elena. Leur village, Beratchetska, situé à une quarantaine de kilomètres de la centrale, a été entièrement rasé, les maisons enterrées, et le site transformé en terres agricoles. 6 Panneau indiquant l'entrée dans la zone d'exclusion. 7 Dans le centre de Braguine, la statue en l'honneur de Vassily Iniatenko, enfant du pays, qui fut le premier pompier sur le site de la centrale. 8 Maisons abandonnées dans le village d'Astrablady, dans la zone d'exclusion. Les sacs au pied des arbres servent à recueillir le jus de bouleau, qui est consommé par les habitants de la région, qui reviennent malgré l'interdiction et le danger. 9 Elena, sa fille et sa petite-fille, dans le village de Savali, d'abord placé en zone d'exclusion, et maintenant autorisé. De nombreux bâtiments ont été enterrés à cause du niveau de radiation. 10. A Braguine, à côté de la station d'essence, la barrière interdisant l'entrée dans la zone d'exclusion, et le panneau indiquant le niveau de radioactivité. Ce jour-là : 0.49 millisievert. En France, on considère qu'il y a danger à 0.10 millisievert. 1 .Claudia et Adam, déplacés parce qu'ils habitaient un village, Astrablady, situé à 20 km de la centrale, dans ce qui est désormais la zone d'exclusion. Ils montrent leurs médailles et leurs cartes de "liquidateurs", statut qui n'existe plus en Biélorussie. 2 Une photo de Claudia devant l'école où elle travaillait, désormais envahie par les arbres. Claudia et Adam retournent de temps en temps voir leur ancien village, Astrablady. 3 Le cimetière de Beratchetska. C'est tout ce qui reste du village...  4. Alexandre sur les lieux où était située la maison de ses parents, Vasili et Elena. Leur village, Beratchetska, situé à une quarantaine de kilomètres de la centrale, a été entièrement rasé, les maisons enterrées, et le site transformé en terres agricoles. 6 Panneau indiquant l'entrée dans la zone d'exclusion. 7 Dans le centre de Braguine, la statue en l'honneur de Vassily Iniatenko, enfant du pays, qui fut le premier pompier sur le site de la centrale. 8 Maisons abandonnées dans le village d'Astrablady, dans la zone d'exclusion. Les sacs au pied des arbres servent à recueillir le jus de bouleau, qui est consommé par les habitants de la région, qui reviennent malgré l'interdiction et le danger. 9 Elena, sa fille et sa petite-fille, dans le village de Savali, d'abord placé en zone d'exclusion, et maintenant autorisé. De nombreux bâtiments ont été enterrés à cause du niveau de radiation. 10. A Braguine, à côté de la station d'essence, la barrière interdisant l'entrée dans la zone d'exclusion, et le panneau indiquant le niveau de radioactivité. Ce jour-là : 0.49 millisievert. En France, on considère qu'il y a danger à 0.10 millisievert.
1 .Claudia et Adam, déplacés parce qu'ils habitaient un village, Astrablady, situé à 20 km de la centrale, dans ce qui est désormais la zone d'exclusion. Ils montrent leurs médailles et leurs cartes de "liquidateurs", statut qui n'existe plus en Biélorussie. 2 Une photo de Claudia devant l'école où elle travaillait, désormais envahie par les arbres. Claudia et Adam retournent de temps en temps voir leur ancien village, Astrablady. 3 Le cimetière de Beratchetska. C'est tout ce qui reste du village...  4. Alexandre sur les lieux où était située la maison de ses parents, Vasili et Elena. Leur village, Beratchetska, situé à une quarantaine de kilomètres de la centrale, a été entièrement rasé, les maisons enterrées, et le site transformé en terres agricoles. 6 Panneau indiquant l'entrée dans la zone d'exclusion. 7 Dans le centre de Braguine, la statue en l'honneur de Vassily Iniatenko, enfant du pays, qui fut le premier pompier sur le site de la centrale. 8 Maisons abandonnées dans le village d'Astrablady, dans la zone d'exclusion. Les sacs au pied des arbres servent à recueillir le jus de bouleau, qui est consommé par les habitants de la région, qui reviennent malgré l'interdiction et le danger. 9 Elena, sa fille et sa petite-fille, dans le village de Savali, d'abord placé en zone d'exclusion, et maintenant autorisé. De nombreux bâtiments ont été enterrés à cause du niveau de radiation. 10. A Braguine, à côté de la station d'essence, la barrière interdisant l'entrée dans la zone d'exclusion, et le panneau indiquant le niveau de radioactivité. Ce jour-là : 0.49 millisievert. En France, on considère qu'il y a danger à 0.10 millisievert. 1 .Claudia et Adam, déplacés parce qu'ils habitaient un village, Astrablady, situé à 20 km de la centrale, dans ce qui est désormais la zone d'exclusion. Ils montrent leurs médailles et leurs cartes de "liquidateurs", statut qui n'existe plus en Biélorussie. 2 Une photo de Claudia devant l'école où elle travaillait, désormais envahie par les arbres. Claudia et Adam retournent de temps en temps voir leur ancien village, Astrablady. 3 Le cimetière de Beratchetska. C'est tout ce qui reste du village...  4. Alexandre sur les lieux où était située la maison de ses parents, Vasili et Elena. Leur village, Beratchetska, situé à une quarantaine de kilomètres de la centrale, a été entièrement rasé, les maisons enterrées, et le site transformé en terres agricoles. 6 Panneau indiquant l'entrée dans la zone d'exclusion. 7 Dans le centre de Braguine, la statue en l'honneur de Vassily Iniatenko, enfant du pays, qui fut le premier pompier sur le site de la centrale. 8 Maisons abandonnées dans le village d'Astrablady, dans la zone d'exclusion. Les sacs au pied des arbres servent à recueillir le jus de bouleau, qui est consommé par les habitants de la région, qui reviennent malgré l'interdiction et le danger. 9 Elena, sa fille et sa petite-fille, dans le village de Savali, d'abord placé en zone d'exclusion, et maintenant autorisé. De nombreux bâtiments ont été enterrés à cause du niveau de radiation. 10. A Braguine, à côté de la station d'essence, la barrière interdisant l'entrée dans la zone d'exclusion, et le panneau indiquant le niveau de radioactivité. Ce jour-là : 0.49 millisievert. En France, on considère qu'il y a danger à 0.10 millisievert.

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